{"id":3565,"date":"2016-09-08T00:09:02","date_gmt":"2016-09-07T21:09:02","guid":{"rendered":"https:\/\/ph.yhb.org.il\/fr\/?p=3565"},"modified":"2018-08-14T12:13:51","modified_gmt":"2018-08-14T09:13:51","slug":"15-08-09","status":"publish","type":"post","link":"https:\/\/ph.yhb.org.il\/fr\/15-08-09\/","title":{"rendered":"09. Parturientes (femmes qui accouchent)"},"content":{"rendered":"
La parturiente, d\u00e8s lors que les douleurs de l\u2019accouchement la saisissent, ou d\u00e8s le moment o\u00f9 il faut la conduire en h\u00e2te \u00e0 l\u2019h\u00f4pital, est consid\u00e9r\u00e9e comme une malade dont l\u2019\u00e9tat est dangereux, qui doit boire et manger selon ses besoins. Tel est son statut jusqu\u2019\u00e0 l\u2019expiration de trois jours, heure pour heure, c\u2019est-\u00e0-dire soixante-douze heures depuis le moment de la naissance. Si ces heures s\u2019ach\u00e8vent au cours du jour de Kipour, la femme pourra boire et manger selon ses besoins jusqu\u2019\u00e0 l\u2019expiration de la soixante-douzi\u00e8me heure[12]<\/a><\/sup>. Or nous avons vu, au sujet de tous les malades pr\u00e9sentant un danger, que c\u2019est seulement dans le cas o\u00f9 cela n\u2019est susceptible d\u2019entra\u00eener aucun dommage qu\u2019il est pr\u00e9f\u00e9rable de boire et de manger par petites quantit\u00e9s disjointes (chi\u2019ourim<\/em>). Mais si la parturiente veut dormir, et que, du fait de la n\u00e9cessit\u00e9 de boire et de manger par chi\u2019ourim<\/em>, il lui soit difficile de dormir \u00e0 sa suffisance, il sera pr\u00e9f\u00e9rable qu\u2019elle boive et mange sans ces interruptions.<\/p>\n De l\u2019expiration du troisi\u00e8me jour \u00e0 celle du septi\u00e8me, il faut juger selon son \u00e9tat. S\u2019il est clair, pour elle et pour le m\u00e9decin, que son \u00e9tat ne pr\u00e9sente pas de danger, elle je\u00fbnera. S\u2019ils n\u2019en sont pas certains, elle ne je\u00fbnera pas (Choul\u2019han \u2018Aroukh<\/em> 617, 4).<\/p>\n